Se ressourcer à Tikehau
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Il y a bientôt 9 mois déjà, je rentrais à Tahiti pour mes premières vraies vacances, une période de « off » absolu entre les études et le début de la vie active. Comme d’habitude, mes parents m’ont proposé un séjour dans les îles, et cette fois, c’est à Tikehau que j’allais savourer pleinement mes vacances.
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C’était en février, soit en pleine saison des pluies (pour en savoir plus sur les saison en Polynésie, j’en parle dans mon guide sur la Polynésie). Je savais que je pariais beaucoup et effectivement, cela faisait déjà plusieurs jours qu’il pleuvait des trombes d’eau. Je regardais à travers la vitre de l’aéroport ces gouttes lécher la surface et me narguer, alors qu’on devait embarquer 10min plus tard. Des vacances au soleil ? Tu parles ! On est montés dans l’avion, sous quelques parapluies, et une fois tout le monde assis, ceintures bouclées, et les roues qui s’envolent du tarmac, le ciel s’est calmé. Quelques instants plus tard, nous arrivons, sous le soleil de Tikehau, inondant l’atmosphère d’un parfum de vacances et de couleurs vives.
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À peine quelques encablures plus loins se trouvait notre pension de famille, en bord de mer, côté lagon. Grosso modo, à 150m de la piste d’aéroport. Nous sommes arrivés avec un jeune couple Polynésien et une famille. Je me souviens très bien du vent qui soufflait ce jour-là, la mer était agitée et la baignade faisait doucement son retour du côté des illusions de cette saison. Heureusement, il faisait quand même grand soleil, et on en a profité l’après-midi pour faire un tour à vélo au hoa d’à côté.
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Nous voici au hoa, un bras de mer entre deux îlots, liant le lagon et l’océan. Celui-ci n’était pas trop profond, on y avait pied partout. J’avoue avoir pris beaucoup de photos, et encore, ce n’ai rien comparé aux jours suivants… Nous sommes ensuite parties dans l’autre sens par rapport à la pension, jusqu’au port du village. Les enfants, en vacances scolaires, jouaient sur la jetée, sautaient à l’eau, remontaient, re-sautaient, et ce je pense jusqu’au coucher du soleil. Des requins et des crabes les accompagnaient (on va dire ça comme ça pour pas vous effrayer haha), et le vent (la tempête ?) m’a empêché de prendre mon appareil photo à cet endroit ! Retour tranquille ensuite, et définition des vacances : lecture sur le transat, le soleil dans les cheveux.
Le soir, nous avons dégusté un délicieux couscous de poisson. Dans beaucoup d’îles, le repas dépend de la pêche du jour et on n’a donc pas le choix du repas. Je trouve que ça fait partie du charme des îles, j’ai l’impression d’être dans une « cantine de vacances » !
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Deuxième jour, premier réveil
Le lendemain matin, les couleurs sont douces et la mer nous tire doucement mais sûrement du lit pour nous mener à elle, les pieds tantôt sur du sable blanc, tantôt mouillés sur du sable rose. J’enlève mes savates (les « tongs », mais jamais dites ça en Polynésie, au mieux on vous comprendra pas, au pire on se moquera de vous !), je prends la température de l’eau, je palpe son rythme puis celui des bernard-l’hermite qui tentaient de la rejoindre. Je m’accroupis, je me lève, je marche, je m’arrête. Bref, le jour se lève, et Tikehau s’éveille.
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Après un bon petit-déjeuner à base de pain et confitures locales (confiture au pamplemousse je t’aime d’amour), l’objectif de la matinée avec ma mère était de faire voler le drone de l’autre côté du motu (= îlot), car de notre côté c’était impossible avec la piste d’aéroport à quelques dizaines de mètres (normalement il faut au moins 1km de distance avec un aéroport). Cette tentative fut un échec cuisant car c’était le premier vol du drone et il fallait le paramétrer en amont, et avec une connexion internet… et autant vous dire que vu la connexion pourrie de Vini (coucou si jamais quelqu’un de Vini passe par là !), l’opérateur téléphonique historique, j’ai déjà perdu beaucoup de temps, et ensuite, j’ai failli perdre une pale dans l’eau — elle commençait à se faire la malle avec le courant en plus —, puis finalement, alors que le drone volait enfin, des oiseaux ont commencé à lui tourner autour, comme pour essayer de le prendre pour proie. Opération drone avortée. Et la prochaine fois, je passe mon brevet de pilote avant, juste au cas où. Et aussi parce que maintenant c’est obligatoire.
L’heure du déjeuner ayant sonné, nous avons pris quelques plats de poisson (poisson cru au lait de coco, sashimi) au snack Ohina, seul snack du village ouvert, avons crevé une roue, un voisin — qui est sûrement de la famille éloignée de ma mère car il porte le même nom (mais ça, c’était fortuit) — est venu nous aider (et par la même occasion, ma mère a retrouvé de vieilles connaissances de son père au snack) et finalement un gars de notre pension est venu nous récupérer en 4×4. C’est bien les îles : avoir un pneu qui crève on ne sait comment, se faire aider spontanément, se faire assister et ramener en 4×4. Et le poisson EXCELLENT bien sûr.
L’après-midi, nous avons été à la Cloche de Hina, toujours sur le même motu mais côté océan cette fois. La Cloche de Hina est une formation rocheuse en bord de mer. Malheureusement, je ne me souviens plus de la légende derrière, j’espère que vous m’en excuserez 🙁 L’endroit ne ressemble pas je pense aux idées qu’on se fait des îles, avec ces rochers et le sable dans l’eau qui laisse souvent place aux plateaux de corail en raison du récif très proche.
Nous avons ensuite terminé le tour de l’îlot par ce chemin côté océan, qui parfois montait à plusieurs mètres d’altitude (genre 4-5 mères), assez rare pour les îles de l’archipel des Tuamotu ! Nous sommes passées par des vestiges de marae, les temples de pierres des anciens Polynésiens, et sommes également passées devant chaque bout de la piste d’aéroport, et l’avons longée d’un côté. La boucle autour du motu n’est en tout pas très longue, mais de toute façon, qui se presse dans les îles ?
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Après un plouf au hoa comme la veille, nous sommes rentrées à la pension, pile à temps pour le nettoyage des poissons pêchés ce jour. La scène ne m’est pas étrangère et est vraiment typique des îles : les poissons en train d’être vidés et écaillés dans l’eau de mer, et les requins, raies et oiseaux attirés par ces restes qui se battent entre eux pour les avoir. C’est dans ces moments là qu’on comprend ce que signifie « vivre au jour le jour », et « travailler pour vivre ». Et aussi que oui, en Polynésie, vaut mieux aimer le poisson parce que dans les îles, il n’y a pas forcément le choix avec autre chose !
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La journée se termine peu après, toujours avec une douce lumière comme celle du matin, mais qui vient cette fois laisser place à un voile étoilé sur l’île, avant de nous pousser dans les bras de Morphée…
Le soir à table, il y avait comme la veille seulement le jeune couple et nous comme Polynésiens, des touristes ainsi qu’un chercheur et ses doctorants en pleine mission sur les requins et comment les éloigner des cages à poissons sans les tuer (un dispositif à base d’aimants). Nous avions au menu les poissons nettoyés un peu plus tôt, et je m’amusais à regarder ma mère qui observait les autres pour voir s’ils savaient manger leur poisson haha (les poissons étaient entiers). Heureusement, à cette table, tout le monde savait manger correctement son poisson, sauf une enfant qui était horrifiée par les yeux globuleux de son plat haha !
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Troisième jour, derniers embruns
Le rituel du matin suit sensiblement celui de la veille : la mélodie des vagues, les pieds dans le sable puis mouillés et salés, la confiture (banane vanille cette fois, un délice).
Nous sommes retournées à la cloche de Hina pour faire voler le drone, ce qui était une nouvelle fois difficile en raison du vent. Ou parce que je ne suis pas assez entraînée, vu comme un autre gars de la pension s’y prenait bien et vite. Nous avons un peu plus marché sur les plateaux de corail que la veille, avant de rentrer. Quelques photos de famille, et nous étions déjà sur le chemin du retour.
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Les écrits sont un peu courts, j’espère que cela ne vous a pas dérangé. Sinon, vous pouvez toujours m’acheter une mémoire pour Noël pour la prochaine fois haha ! En parlant de la prochaine fois, il paraît que je ne serai pas qu’avec mes parents… 😉
J’espère tout de même que cet article vous aura plu et aura mis un peu de soleil en cette saison ! D’ailleurs dites-moi, est-ce que c’est comme ça que vous imaginez la Polynésie ? Je pense que oui, et justement, je vous montrerai d’autres facettes très bientôt. Stay tuned !
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Epinglez-moi sur Pinterest !
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Cet article me rappelle des souvenirs ! Je suis allée à Tikehau il y a quelques années de cela avec ma famille et je dois avouer que c’est un endroit à couper le souffle !
Bonjour,
Tes photos sont magnifiques et aucun mot peu définir la splendeur de cette nature. Tu parles d’une pension. Peut tu me dire le nom? Merci
Bonjour Edith,
Merci beaucoup 🙂
Nous avons logé à la pension Hotu, elle se situe sur le motu principal, proche de l’aéroport.
Tikehau à l’air vraiment un endroit magnifique et de rêve à la vue de ton article ! Nous avons fait les îles sous le vent et on doit dire que nous avons adoré !
Tikehau c’est le reflet de l’ensemble des îles des Tuamotu ! Elles sont l’image même de la carte postale et sont très différentes des îles Sous-le-vent 🙂 Chaque archipel a son identité propre, donc je suis contente que vous ayez apprécié votre séjour!
Cet article est super, les photos n’en parlons pas.. Ça me rappelle de vieux souvenir de ce si bel atoll. Continues Vai, tu fais rêver
Merci beaucoup Natacha !
J’ai encore plusieurs articles sur la Polynésie à publier, j’espère qu’ils te plairont autant 🙂
Très bien comme article, merci Vai, on ce laisse facilement porter à tes côtés, de belles photos, un texte bien clair.
Ayant une amis tahitienne qui cuisine divinement bien, je suis d’accord le poisson cru c’est juste TROP BON !!!
Merci Adrian ! Haha j’ai eu envie d’en manger pendant toute la rédaction de l’article, et encore maintenant ^^
Cette article est splendide tant les photos que le récit passionnant. Et quand tu me parles de couscous au poisson, je bave devant mon ordinateur !! Puis quelques lignes plus tard je lis « poisson cru, lait de coco, sashimi… » et là je manque de mourir ! C’est quand que tu ouvres un eshop de bouffe tahitienne ? ( merci de penser à cette idée pour tes fans )
Bref je suis un peu comme Julie je trouve tes articles sur la polynesie magnifique ! merci pour cette belle parenthèse dans ma journée qui sent bon les vacances !!!
Merciii merci merci ! Hahaha le poisson est le roi des plats ici !
Haha si tu me trouves une solution pour la logistique pour la chaîne du froid, go :p
Merci beaucoup, j’espère que les prochains articles sur la Polynésie te feront rêver aussi !
Coucou Vai ♥ Par où commencer… Bon, déjà j’aime beaucoup la nouvelle identité visuelle de ton blog! Ce logo est beaucoup plus personnel et joyeux que l’ancien, ça te ressemble 🙂
Ceci étant dit, pour parler de l’article, je vais commencer par te dire combien tes photos sont belles. Et en même temps, « beau » c’est un mot un peu dénué de sens, l’appréciation du « beau » dépend de tellement de choses et reste singulier selon les goûts, les cultures… Non, en écrivant ces lignes je me dit que tes photos ne sont pas justes « belles », elles ont une âme. Je ne sais pas comment te faire part de mon ressenti, mais tes images me touchent particulièrement. Non pas que ce ne soit pas le cas dans tes autres articles, mais là, on sent vraiment que tu as partagé un fragment de toi. Tes mots m’ont fait rêvé d’ilots, de balades sur le sable, (et de poisson à tous les repas HAHA !). Vraiment, quand tu nous parles de la Polynésie on est transportés… Merci !
Coucou Julie 😀
Alors vraiment, un grand grand grand MERCI pour ce commentaire ! Je crois que c’est le commentaire le plus touchant que j’ai reçu sur ce blog, j’ai quasiment versé une petite larme en le lisant ♥ Le meilleur cadeau pour le 100ème article publié ici (j’en reviens pas !), pour le renouveau de ce blog et ça me touche d’autant plus que c’est un article qui parle de mon pays. MERCI ♥
C’est marrant parce que je me disais le contraire : plus le temps passait, plus je voyais les photos et plus je me demandais si vraiment l’amour que je ressentais sur le moment était toujours palpable 🙂
Ouiiiii le poisson à tous les repas, c’est ça que j’aime haha !
Bref, je n’ai plus de mot. Merci, et à bientôt ma Julie !