Dans la 2ème partie de l’atelier, nous sommes passés au tressage. On a vu très simple : un éventail chacun. Pour cela, il faut : du pandanus (travaillé comme précédemment), une petite tige de bambou pour rigidifier l’éventail, et du fil et une aiguille pour coudre des petites décorations dessus. L’éventail est relativement simple à réaliser, mais on a un peu plus de mal à faire les roses qui viendront les orner. Nelly est patiente, rit de notre maladresse, s’affaire sur les roses de son côté. Au bout d’une demi-heure peut-être, on a tous fini et on est pas peu fiers de nos oeuvres.
Plus tard dans la journée, on visitera le CJA de Rimatara dont je parle dans cet article sur Rimatara. On était bluffés par la dextérité des élèves sur leurs paniers, en particulier par le nombre de feuilles de pandanus qu’elles tressaient à la fois, et leur très petite épaisseur.
Iaorana. De Compiègne en Picardie… Super cet article… Je découvre et initié le tressage à des jeunes en situation de handicap et croisé avec la tradition polynésienne… Me donne encore plus de venir travailler la bas !!! Merci
Superbes images d’artisanat Vai ! Je trouve ce savoir-faire fascinant et très photogénique.
Faire découvrir ce travail, c’est aussi une belle façon de soutenir l’artisanat local.
Merci pour ce chouette reportage 🙂
Merci Julie !! Je trouve ça aussi très photogénique, sûrement parce que c’est en pleine nature ?
En tout cas, même en tant que Polynésienne, je suis contente d’avoir découvert d’où viennent les rouleaux de pandanus qui servent à faire des paniers, chapeaux, costumes de danse, etc. 🙂